Diplomatie
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Diplomatie
Les pactes ne marches pas fort on dirait ?
Quelques explications :
1 Jamais de pacte total sans l'assurance d'un soutient militaire et économique en cas de conflit
2 Donc orienté ces pactes vers des PNA
3 Négocier et s'entraider car quand je vois celà :
Evénements militaires
Joueur Alliance Date
musicienne attaque guillaume62500 ~L.J.G~ - 28.03.08 17:49
masimo attaque kate87 L.G.S.² - ~L.J.G~ 28.03.08 17:45
Cagalli attaque COCOcm ~L.J.G~ - 28.03.08 17:37
musicienne attaque lotus7737 ~L.J.G~ - lotus 28.03.08 17:18
Automatix attaque seiller TD - ~L.J.G~ 28.03.08 17:09
Kygak attaque titoon LSVG - ~L.J.G~ 28.03.08 16:56
musicienne attaque lotus7737 ~L.J.G~ - lotus 28.03.08 15:25
Automatix attaque seiller TD - ~L.J.G~ 28.03.08 14:19
Automatix attaque seiller TD - ~L.J.G~ 28.03.08 14:07
musicienne attaque la puce ~L.J.G~ - 28.03.08 13:12
musicienne attaque la puce ~L.J.G~ - 28.03.08 12:15
musicienne attaque la puce ~L.J.G~ - 28.03.08 11:30
diabolik_life attaque ulysse59 *ALS* - ~L.J.G~ 28.03.08 09:36
kate87 attaque jov ~L.J.G~ - 28.03.08 05:52
Automatix attaque seiller TD - ~L.J.G~ 28.03.08 05:44
kate87 attaque jov ~L.J.G~ - 28.03.08 04:08
ayoros attaque seiller ~LGA~ - ~L.J.G~ 28.03.08 02:26
karim attaque Xavier ~L.J.G~ - ~T.D.P.~ 27.03.08 23:14
Hujiord attaque kodakodu ~°TARO°~ - ~L.J.G~ 27.03.08 22:56
karim attaque .Ak ~L.J.G~ - 27.03.08 22:46
Quelques explications :
1 Jamais de pacte total sans l'assurance d'un soutient militaire et économique en cas de conflit
2 Donc orienté ces pactes vers des PNA
3 Négocier et s'entraider car quand je vois celà :
Evénements militaires
Joueur Alliance Date
musicienne attaque guillaume62500 ~L.J.G~ - 28.03.08 17:49
masimo attaque kate87 L.G.S.² - ~L.J.G~ 28.03.08 17:45
Cagalli attaque COCOcm ~L.J.G~ - 28.03.08 17:37
musicienne attaque lotus7737 ~L.J.G~ - lotus 28.03.08 17:18
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Hujiord attaque kodakodu ~°TARO°~ - ~L.J.G~ 27.03.08 22:56
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Virentes- Ce forum est sa drogue !
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Localisation : Lyon
Date d'inscription : 28/03/2008
Re: Diplomatie
Citoyen premier Consul,
Vous venez, par un message mémorable, de répondre d'une maniere digne de vous, et de la grande nation qui vous a nommé son chef, au vœu que le Sénat vous avoit exprimé, et aux sollicitudes que lui avoit inspirées l'amour de la patrie. Vous desirez, Citoyen premier Consul, de connoître la pensée tout entiere du Sénat sur celles de nos institutions qui nous ont paru devoir être perfectionnées pour assurer sans retour le triomphe de l'égalité et de la liberté publiques, et offrir à la nation et au gouvernement la double garantie dont ils ont besoin.
Le Sénat a réuni et comparé avec soin les résultats des méditations de ses membres, les fruits de leur expérience, les effets du zele qui les anime pour la prospérité du peuple, dont ils sont chargés de conserver les droits.
Il a rappelé le passé, examiné le présent, porté ses regards sur l'avenir ; il vous transmet le vœu que lui commande le salut de l'état.
Les Français ont conquis la liberté ; ils veulent conserver leur conquête ; ils veulent le repos après la victoire.
Ce repos glorieux, ils le devront au gouvernement héréditaire d'un seul qui, élevé au-dessus de tous, investi d'une grande puissance, environné d'éclat, de gloire, et de majesté, défende la liberté publique, maintienne l'égalité, et baisse ses faisceaux devant l'expression de la volonté souveraine du peuple qui l'aura proclamé.
C'est ce gouvernement que vouloit se donner la nation française dans ces beaux jours de 89, dont le souvenir sera cher à jamais aux amis de la patrie ; où le noble enthousiasme, que l'image seule de ce gouvernement faisoit naître, étoit involontairement partagé par ceux même dont la révolution blessoit les intérêts, et auxquels un étranger perfide osoit déjà montrer de loin des armes parricides pour le combattre ; et où l'expérience des siecles, la raison des hommes d'Etat, le génie de la philosophie, et l'amour de l'humanité, inspiroient les représentants que la nation avoit choisis.
C'est ce gouvernement limité par la loi que le plus grand génie de la Grece, l'orateur le plus célebre de Rome, et le plus grand homme d'Etat du dix-huitieme siecle, ont déclaré le meilleur de tous.
C'est celui qui seul peut mettre un frein aux rivalités dangereuses dans un pays couvert de nombreuses armées, commandées par de grands capitaines.
L'histoire le montre comme un obstacle invincible contre lequel viennent se briser, et les efforts insensés d'une anarchie sanglante, et la violence d'une tyrannie audacieuse qui se croiroit absoute par la force, et les coups perfides d'un despotisme plus dangereux encore qui, tendant dans les ténebres ses redoutables rets, sauroit attendre avec une patience hypocrite le moment de jeter le masque et de lever sa massue de fer.
Elle dit à une nation brave et généreuse : Tu as perdu ton indépendance, ta liberté, ton nom, pour n'avoir pas voulu renoncer à élire ton chef suprême.
Elle dévoile cette longue suite de tumultes, de dissentions, de discordes civiles, qui ont précédé ou suivi les époques où un peuple a élu un nouveau chef ; heureux encore lorsqu'il n'a pas été condamné à la honte, plus insupportable que la mort, de recevoir d'un pouvoir étranger, conquérant ou corrupteur, un chef avili, asservi lâchement ou bassement perfide !
Elle nous fait voir la ville des Césars, la capitale du monde, livrée en proie à tous les désordres, à tous les crimes, à toutes les fureurs, par l'or, le fer ou le poison des contendants à l'empire, jusqu'au moment où une hérédité réguliere remplaça un assemblage monstrueux d'élections contestées, de sanctions dérisoires, de successions incertaines, d'adoptions méconnues, et d'acclamations méprisées.
Après les quinze siecles écoulés depuis 89, après toutes les catastrophes qui se sont succédées, après les dangers sans nombre qui ont environné le corps social, et lorsque nous avons vu s'ouvrir l'abyme dans lequel on s'efforçoit de le précipiter, avant que le sauveur de la France nous eût été rendu, quel autre gouvernement que le gouvernement héréditaire d'un seul, réglé par la loi pour le bonheur de tous, et confié à une famille dont la destinée est inséparable de celle de la révolution, pourroit protéger la fortune d'un si grand nombre de citoyens devenus propriétaires de domaines que la contre-révolution leur arracheroit, garantir la tête de tous les Français qui n'ont jamais cessé d'être fideles au peuple souverain, et défendre même l'existence de ceux qui, égarés dans le commencement des tourmentes politiques, ont réclamé et obtenu l'indulgence de la patrie ?
Quelle autre égide que ce gouvernement, peut repousser pour toujours ces complots exécrables qui, se reproduisant sous toutes les formes, mettant en jeu tous les ressorts, échauffant toutes les passions, chaque jour anéantis, et cependant renaissant chaque jour, pourroient finir par lasser la fortune, et auxquels se livrent en aveugles furieux ces hommes qui, dans leur délire coupable, croient pouvoir reconstruire, pour une famille que le peuple a proscrite, un trône uniquement composé de trophées féodaux et d'instruments de servitude, que la foudre nationale a réduits en poudre ?
Et enfin, quel autre gouvernement peut conserver à jamais cette propriété si chere à une nation généreuse, ces palmes du génie, et ces lauriers de la victoire, dont les ennemis de la France, affranchie de l'antique joug féodal, voudroient, de leurs mains sacrileges, dépouiller son front auguste ?
Ce gouvernement héréditaire ne peut être confié qu'à Napoléon Bonaparte et à sa famille.
La gloire, la reconnoissance, l'amour, la raison, l'intérêt de l'Etat, tout proclame Napoléon Empereur héréditaire.
Mais, citoyen Premier Consul, le bienfait de notre pacte social doit durer, s'il est possible, autant que votre renommée.
Nous devons assurer le bonheur, et garantir les droits des générations à venir.
Le gouvernement impérial doit être inébranlable.
Que l'oubli des précautions réclamées par la sagesse ne laisse jamais succéder les orages d'une régence, mal organisée d'avance, aux tempêtes des gouvernements électifs.
Il faut que la liberté et l'égalité soient sacrées ; que le pacte social ne puisse pas être violé ; que la souveraineté du peuple ne soit jamais méconnue ; et que, dans les temps les plus reculés, la nation ne soit jamais forcée de ressaisir sa puissance, et de venger sa majesté outragée.
Le Sénat pense, citoyen Premier Consul, qu'il est du plus grand intérêt du peuple français de confier le gouvernement de la République à Napoléon Bonaparte, Empereur héréditaire.
Il développe, dans le mémoire qu'il joint à son message, les dispositions qui lui paroissent les plus propres à donner à nos institutions la force nécessaire pour garantir à la nation ses droits les plus chers, en assurant l'indépendance des grandes autorités, le vote libre et éclairé de l'impôt, la sûreté des propriétés, la liberté individuelle, celle de la presse, celle des élections, la responsabilité des ministres, et l'inviolabilité des lois constitutionnelles.
Ces dispositions tutélaires, citoyen Premier Consul, mettront le peuple français à l'abri des complots de nos ennemis, et des agitations qui naîtroient d'ambitions rivales. Elles maintiendront le regne de la loi, de la liberté, et de l'égalité.
L'amour des Français pour votre personne, transmis à vos successeurs avec la gloire immortelle de votre nom, liera à jamais les droits de la nation à la puissance du prince.
Le pacte social bravera le temps.
La République, immuable comme son vaste territoire, verroit s'élever en vain autour d'elle les tempêtes politiques.
Pour l'ébranler il faudroit ébranler le monde ; et la postérité, en rappelant les prodiges enfantés par votre génie, verra toujours debout cet immense monument de tout ce que vous devra la patrie.
Les vice-Président et Secrétaires.
Signé François (de Neufchâteau), vice-Président.
Morard de galles et Joseph Cornudet,
Secrétaires.
Vu et scellé.
Le Chancelier du Sénat. Signé Laplace.
Vous venez, par un message mémorable, de répondre d'une maniere digne de vous, et de la grande nation qui vous a nommé son chef, au vœu que le Sénat vous avoit exprimé, et aux sollicitudes que lui avoit inspirées l'amour de la patrie. Vous desirez, Citoyen premier Consul, de connoître la pensée tout entiere du Sénat sur celles de nos institutions qui nous ont paru devoir être perfectionnées pour assurer sans retour le triomphe de l'égalité et de la liberté publiques, et offrir à la nation et au gouvernement la double garantie dont ils ont besoin.
Le Sénat a réuni et comparé avec soin les résultats des méditations de ses membres, les fruits de leur expérience, les effets du zele qui les anime pour la prospérité du peuple, dont ils sont chargés de conserver les droits.
Il a rappelé le passé, examiné le présent, porté ses regards sur l'avenir ; il vous transmet le vœu que lui commande le salut de l'état.
Les Français ont conquis la liberté ; ils veulent conserver leur conquête ; ils veulent le repos après la victoire.
Ce repos glorieux, ils le devront au gouvernement héréditaire d'un seul qui, élevé au-dessus de tous, investi d'une grande puissance, environné d'éclat, de gloire, et de majesté, défende la liberté publique, maintienne l'égalité, et baisse ses faisceaux devant l'expression de la volonté souveraine du peuple qui l'aura proclamé.
C'est ce gouvernement que vouloit se donner la nation française dans ces beaux jours de 89, dont le souvenir sera cher à jamais aux amis de la patrie ; où le noble enthousiasme, que l'image seule de ce gouvernement faisoit naître, étoit involontairement partagé par ceux même dont la révolution blessoit les intérêts, et auxquels un étranger perfide osoit déjà montrer de loin des armes parricides pour le combattre ; et où l'expérience des siecles, la raison des hommes d'Etat, le génie de la philosophie, et l'amour de l'humanité, inspiroient les représentants que la nation avoit choisis.
C'est ce gouvernement limité par la loi que le plus grand génie de la Grece, l'orateur le plus célebre de Rome, et le plus grand homme d'Etat du dix-huitieme siecle, ont déclaré le meilleur de tous.
C'est celui qui seul peut mettre un frein aux rivalités dangereuses dans un pays couvert de nombreuses armées, commandées par de grands capitaines.
L'histoire le montre comme un obstacle invincible contre lequel viennent se briser, et les efforts insensés d'une anarchie sanglante, et la violence d'une tyrannie audacieuse qui se croiroit absoute par la force, et les coups perfides d'un despotisme plus dangereux encore qui, tendant dans les ténebres ses redoutables rets, sauroit attendre avec une patience hypocrite le moment de jeter le masque et de lever sa massue de fer.
Elle dit à une nation brave et généreuse : Tu as perdu ton indépendance, ta liberté, ton nom, pour n'avoir pas voulu renoncer à élire ton chef suprême.
Elle dévoile cette longue suite de tumultes, de dissentions, de discordes civiles, qui ont précédé ou suivi les époques où un peuple a élu un nouveau chef ; heureux encore lorsqu'il n'a pas été condamné à la honte, plus insupportable que la mort, de recevoir d'un pouvoir étranger, conquérant ou corrupteur, un chef avili, asservi lâchement ou bassement perfide !
Elle nous fait voir la ville des Césars, la capitale du monde, livrée en proie à tous les désordres, à tous les crimes, à toutes les fureurs, par l'or, le fer ou le poison des contendants à l'empire, jusqu'au moment où une hérédité réguliere remplaça un assemblage monstrueux d'élections contestées, de sanctions dérisoires, de successions incertaines, d'adoptions méconnues, et d'acclamations méprisées.
Après les quinze siecles écoulés depuis 89, après toutes les catastrophes qui se sont succédées, après les dangers sans nombre qui ont environné le corps social, et lorsque nous avons vu s'ouvrir l'abyme dans lequel on s'efforçoit de le précipiter, avant que le sauveur de la France nous eût été rendu, quel autre gouvernement que le gouvernement héréditaire d'un seul, réglé par la loi pour le bonheur de tous, et confié à une famille dont la destinée est inséparable de celle de la révolution, pourroit protéger la fortune d'un si grand nombre de citoyens devenus propriétaires de domaines que la contre-révolution leur arracheroit, garantir la tête de tous les Français qui n'ont jamais cessé d'être fideles au peuple souverain, et défendre même l'existence de ceux qui, égarés dans le commencement des tourmentes politiques, ont réclamé et obtenu l'indulgence de la patrie ?
Quelle autre égide que ce gouvernement, peut repousser pour toujours ces complots exécrables qui, se reproduisant sous toutes les formes, mettant en jeu tous les ressorts, échauffant toutes les passions, chaque jour anéantis, et cependant renaissant chaque jour, pourroient finir par lasser la fortune, et auxquels se livrent en aveugles furieux ces hommes qui, dans leur délire coupable, croient pouvoir reconstruire, pour une famille que le peuple a proscrite, un trône uniquement composé de trophées féodaux et d'instruments de servitude, que la foudre nationale a réduits en poudre ?
Et enfin, quel autre gouvernement peut conserver à jamais cette propriété si chere à une nation généreuse, ces palmes du génie, et ces lauriers de la victoire, dont les ennemis de la France, affranchie de l'antique joug féodal, voudroient, de leurs mains sacrileges, dépouiller son front auguste ?
Ce gouvernement héréditaire ne peut être confié qu'à Napoléon Bonaparte et à sa famille.
La gloire, la reconnoissance, l'amour, la raison, l'intérêt de l'Etat, tout proclame Napoléon Empereur héréditaire.
Mais, citoyen Premier Consul, le bienfait de notre pacte social doit durer, s'il est possible, autant que votre renommée.
Nous devons assurer le bonheur, et garantir les droits des générations à venir.
Le gouvernement impérial doit être inébranlable.
Que l'oubli des précautions réclamées par la sagesse ne laisse jamais succéder les orages d'une régence, mal organisée d'avance, aux tempêtes des gouvernements électifs.
Il faut que la liberté et l'égalité soient sacrées ; que le pacte social ne puisse pas être violé ; que la souveraineté du peuple ne soit jamais méconnue ; et que, dans les temps les plus reculés, la nation ne soit jamais forcée de ressaisir sa puissance, et de venger sa majesté outragée.
Le Sénat pense, citoyen Premier Consul, qu'il est du plus grand intérêt du peuple français de confier le gouvernement de la République à Napoléon Bonaparte, Empereur héréditaire.
Il développe, dans le mémoire qu'il joint à son message, les dispositions qui lui paroissent les plus propres à donner à nos institutions la force nécessaire pour garantir à la nation ses droits les plus chers, en assurant l'indépendance des grandes autorités, le vote libre et éclairé de l'impôt, la sûreté des propriétés, la liberté individuelle, celle de la presse, celle des élections, la responsabilité des ministres, et l'inviolabilité des lois constitutionnelles.
Ces dispositions tutélaires, citoyen Premier Consul, mettront le peuple français à l'abri des complots de nos ennemis, et des agitations qui naîtroient d'ambitions rivales. Elles maintiendront le regne de la loi, de la liberté, et de l'égalité.
L'amour des Français pour votre personne, transmis à vos successeurs avec la gloire immortelle de votre nom, liera à jamais les droits de la nation à la puissance du prince.
Le pacte social bravera le temps.
La République, immuable comme son vaste territoire, verroit s'élever en vain autour d'elle les tempêtes politiques.
Pour l'ébranler il faudroit ébranler le monde ; et la postérité, en rappelant les prodiges enfantés par votre génie, verra toujours debout cet immense monument de tout ce que vous devra la patrie.
Les vice-Président et Secrétaires.
Signé François (de Neufchâteau), vice-Président.
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Le Chancelier du Sénat. Signé Laplace.
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